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La pauvreté

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La pauvreté
Message de lefuongthuy posté le 08-01-2019 à 11:50:53 (S | E | F)
Bonjour,
Pourriez-vous m'aider à corriger ce texte ? Merci.

Récemment un président d’une géante économie a décidé d’enlever une aide sociale pour les pauvres. Il suscite le mécontentement d’une grande partie de la population. Cela provient de plusieurs raisons. D’abord, la plupart de la population n’est pas riche et donc cette décision touche beaucoup de gens. Deuxièmement, ne pas aider les pauvres est considéré comme immoral. La décision est alors contre la valeur de l’humanité: l’entraide.

Un politicien savant bien calculer va montrer sa considération envers les pauvres, suggérer des programmes visant à aider les pauvres … Il obtiendra alors une belle image d’un président proche de son peuple et toujours à l’écoute. C’est une approche traditionnelle mais aussi ancienne. Les aides ne font que diminuer la douleur. La maladie reste toujours là. Elles ne guérit pas les gens de la pauvreté. Ironiquement, parfois les pauvres s’en sortent mieux que les travailleurs de SMIC, car les pauvres reçoivent plus d’aides pour le logement, le transport, la santé, le gaz et l’électricité, les études… Du coup, ce n’est pas mal de rester sous statut « pauvre » et recevoir de l’aide. A mon avis, l’aide est toujours nécessaire et est une bonne chose à faire dans la société, mais l’aide doit être personnalisée. Il ne faut pas généraliser l’aide : une solution ne devrait pas être jugée bonne à tout le monde. Chacun a son propre niveau de difficulté et d’effort. Et l’aide doit aussi être suivie : moins d'amélioration dans sa vie, moins d’aide au cours du temps alors.

Les pauvres ne peuvent s’en sortir qu’en s’évertuer dans la vie. Celui qui est pitoyable est aussi reprochable. Être né dans la pauvreté n’est pas une choix et suscite de la compassion chez les autres. Mais être mort dans la pauvreté est répréhensible. Il est fortement probable que durant ses cinquantaines années de vie, il ne s’est pas acharné assez pour améliorer sa situation.


Réponse : La pauvreté de gerondif, postée le 08-01-2019 à 14:48:54 (S | E)
Bonjour
Récemment un président d’une géante économie(sens? Quand on parle d'une entreprise, on dit que c'est un géant économique, on ne féminise pas, une géante, ça fait ridicule. En fait le sexisme remonte loin dans la grammaire française. Par contre, on peut parler "d'une grande entreprise".) a décidé d’enlever (on dirait plutôt de supprimer) une aide sociale pour les pauvres. Il suscite (surprenant, ce présent, après "a décidé) le mécontentement d’une grande partie de la population. Cela provient de plusieurs raisons. D’abord, la plupart de la population (maladroit, population est global et singulier et on s'attend plutôt à un pluriel derrière "la plupart" des gens. Par contre, les trois quarts de la population passe bien, la majorité de la population aussi) n’est pas riche et donc cette décision touche beaucoup de gens. Deuxièmement, ne pas aider les pauvres est considéré comme immoral. La décision est(je mettrais plutôt un verbe d'action qu'un verbe d'état ici) alors contre la valeur de l’humanité: l’entraide.

Un politicien savant( savant est un adjectif ou un nom, sachant est le participe du verbe) bien calculer va montrer sa considération envers les pauvres, suggérer des programmes visant à aider les pauvres … Il obtiendra alors une belle image d’un président proche de son peuple et toujours à l’écoute. C’est une approche traditionnelle mais aussi ancienne. Les aides ne font que diminuer la douleur. La maladie reste toujours là. Elles(singulier) ne guérit pas les gens de la pauvreté. Ironiquement, parfois les pauvres s’en sortent mieux que les travailleurs deau SMIC (de indiquerait une appartenance, ils sont payes au smic), car les pauvres reçoivent plus d’aides pour le logement, le transport, la santé, le gaz et l’électricité, les études… Du coup, ce n’est pas mal(expression familière, peut-être utilisée à dessein pour montrer le point de vue du narrateur, appréciation ou dénigrement. Sinon, "C'est pratique de" est plus neutre) de rester sous statut « pauvre » et (préposition)recevoir de l’aide. A mon avis, l’aide est toujours nécessaire et est une bonne chose à faire(maladroit) dans la société, mais l’aide doit être personnalisée. Il ne faut pas généraliser l’aide : une solution ne devrait pas être jugée bonne à(à changer) tout le monde. Chacun a son propre niveau de difficulté et d’effort. Et l’aide doit aussi être suivie : moins d'amélioration dans sa vie, moins d’aide au cours du temps alors.(Les mots sont corrects mais l'idée est maladroitement rendue. Vous voulez dire que l'aide devrait diminuer au fil du temps si le bénéficiaire ne fait pas suffisamment d'efforts pour trouver du travail, améliorer sa vie ?)

Les pauvres ne peuvent s’en sortir qu’en s’évertuer(deux erreurs. 1) il faudrait un participe présent. 2) On s'évertue à faire quelque chose, je ne vois pas ce verbe s’utiliser sans complément) dans la vie. Celui qui est pitoyable est aussi reprochable.(Ah, on dirait de l'anglais traduit. Essayer de le tourner autrement, je pense au verbe encourir) Être né dans la pauvreté n’est pas une choix et suscite de la compassion chez les autres. Mais être mort dans la pauvreté est répréhensible (Bon, on ne donne pas son avis normalement mais ce répréhensible me semble dur, comme idée). Il est fortement probable que durant ses cinquantaines années de vie si vous mettez ces ou ses cinquantes années de vie, oui, c'est du pluriel mais la cinquantaine d'année, il n'y en aura qu'une, s'il y en a plusieurs,ses cinquantaines d'années de vie, alors il a 200 250 300 ans ? Le sécurité sociale va être en déficit !!), il ne s’est pas acharné assez(à placer plutôt devant acharné) pour améliorer sa situation.(acharné n'est pas le meilleur participe)



Réponse : La pauvreté de lefuongthuy, postée le 10-01-2019 à 18:52:17 (S | E)
Bonjour,
Voici la correction. Merci beaucoup pour votre temps.

Récemment le président d’un pays superpuissant a décidé de supprimer une aide sociale pour les pauvres. Il a suscité le mécontentement d’une grande partie de la population. Cela provient de plusieurs raisons. D’abord, la majorité de la population n’est pas riche et donc cette décision touche beaucoup de gens. Deuxièmement, ne pas aider les pauvres est considéré comme immoral. La décision détériore alors la valeur de l’humanité : l’entraide.

Un politicien sachant bien calculer va montrer sa considération envers les pauvres, suggérer des programmes visant à aider les pauvres… Il obtiendra une belle image d’un président proche de son peuple et toujours à l’écoute. C’est une approche traditionnelle mais aussi ancienne. Les aides ne font que diminuer la douleur. La maladie reste toujours là. Elles ne guérissent pas les gens de la pauvreté. Ironiquement, parfois les pauvres s’en sortent mieux que les travailleurs au SMIC, car les pauvres reçoivent plus d’aides pour le logement, le transport, la santé, le gaz et l’électricité, les études… Du coup, il est pratique de rester sous statut « pauvre » et de recevoir de l’aide. A mon avis, l’aide est toujours nécessaire et appréciée dans la société, mais elle doit être personnalisée. Il ne faut pas généraliser l’aide : une solution ne devrait pas être jugée bonne pour tout le monde. Chacun a son propre niveau de difficulté et de perseverance. L’aide doit surtout être suivie. Au cours du temps, il faut évaluer la situation et la performance du bénéficiaire pour juger l’aide et le montant.

Les pauvres ne peuvent s’en sortir qu’en s’évertuant à construire une meilleure vie. Quand on est pauvre, on est pitoyable, mais encourt aussi du reproche. Être né dans la pauvreté n’est pas une choix et mérite de la compassion chez les autres. Mais mourir dans la pauvreté suscite d’être blâmé. Il est fort probable que durant ses cinquante années de vie, il ne s’est pas assez acharné pour l’amélioration de sa situation.





Réponse : La pauvreté de gerondif, postée le 10-01-2019 à 22:27:56 (S | E)
Bonjour
quelques retouches.
Récemment le président d’un pays superpuissant a décidé de supprimer une aide sociale pour les pauvres(. Il a suscité)(vous pourriez remplacer par une virgule et un participe présent du verbe susciter) le mécontentement d’une grande partie de la population. (Cela provient de) (correct mais pas très naturel, vous pourriez lier à la phrase précédence avec par exemple ",et ce pour" ou pour tout seul) plusieurs raisons. D’abord, la majorité de la population n’est pas riche et donc cette décision touche beaucoup de gens. Deuxièmement, ne pas aider les pauvres est considéré comme immoral. La décision détériore alors la valeur de l’humanité (on ne comprend pas bien ce que vous voulez dire, sans doute cette décision s'attaque à une valeur tabou de l'humanité): l’entraide.

Un politicien sachant bien calculer(on pourrait croire qu'il doit être bon en maths, essayez l'adjectif formé sur calculer ou manipuler) va montrer sa considération envers les pauvres, suggérer des programmes visant à aider les pauvres… Il obtiendra une belle image d’un président proche de son peuple et toujours à l’écoute. C’est une approche traditionnelle mais aussi ancienne.(Comme ceci est votre argument, je le mettrais davantage en valeur au départ) Les aides ne font que diminuer la douleur. La maladie reste toujours là. Elles ne guérissent pas les gens de la pauvreté. Ironiquement, parfois les pauvres s’en sortent mieux que les travailleurs au SMIC, car les pauvres reçoivent plus d’aides pour le logement, le transport, la santé, le gaz et l’électricité, les études… Du coup, il est pratique de rester sous statut de « pauvre » et de recevoir de l’aide. A mon avis, l’aide est toujours nécessaire et appréciée dans la société, mais elle doit être personnalisée. Il ne faut pas généraliser l’aide : une solution unique ne devrait pas être jugée bonne pour tout le monde. Chacun a son propre niveau de difficulté et de perseverance (accent). L’aide doit surtout être suivie (Prête à confusion, on pourrait croire qu'elle doit être suivie, ne pas s'arrêter , alors que vous voulez dire que l'aide devrait donner lieu à une évaluation de ses résultats). Au cours du temps, il faut évaluer la situation et la performance du bénéficiaire pour juger l’aide et le montant.

Les pauvres ne peuvent s’en sortir qu’en s’évertuant à (verbe assez rare quand même.s'efforcer de, s'appliquer à, essayer de, tout faire pour...) construire une meilleure vie. Quand on est pauvre, on est pitoyable (on pourrait croire que vous reprochez aux pauvres d'être pathétiques alors qu'en fait , vous voulez sans doute dire qu'ils font pitié, qu'ils inspirent la pitié), mais encourt aussi du(se met plutôt au pluriel vous pensez à "some reproach" sans doute) reproche. Être né dans la pauvreté n’est pas une choix et mérite de la compassion chez (de la part des) les autres. Mais mourir dans la pauvreté suscite(ne couvient pas) d’être blâmé. Il est fort probable que durant ses cinquante années de vie, il ne s’est pas assez acharné pour (mettez plutôt le verbe)l’amélioration de sa situation.



Réponse : La pauvreté de lefuongthuy, postée le 11-01-2019 à 19:00:25 (S | E)
Bonjour,
Voici la correction. Merci.

Récemment le président d’un pays superpuissant a décidé de supprimer une aide sociale pour les pauvres, suscitant le mécontentement d’une grande partie de son peuple. La majorité de la population n’est pas riche donc la décision touche beaucoup de gens. D’ailleurs, ne pas aider les pauvres est considéré comme immoral. La décision s’attaque à une valeur taboue de l’humanité : l’entraide.

Un politicien manipulant va montrer sa considération envers les pauvres, suggérer des programmes visant à aider les pauvres… Il obtiendra alors une belle image d’un président proche de son peuple et toujours à l’écoute. C’est une approche traditionnelle mais aussi ancienne (Je ne comprends pas trop votre remarque. Voulez-vous dire qu’il faudrait mettre « ancienne » en devant et « traditionnelle » en derrière ?). Les aides ne font que diminuer la douleur. La maladie reste toujours là. Elles ne guérissent pas les gens de la pauvreté. Ironiquement, les pauvres s’en sortent mieux que les travailleurs au SMIC, car les pauvres reçoivent davantage d’aides pour le logement, le transport, la santé, le gaz et l’électricité, les études… Du coup, il est pratique de rester sous statut de « pauvre » et de recevoir de l’aide. A mon avis, l’aide est toujours nécessaire et appréciée dans la société, mais elle doit être personnalisée. Il ne faut pas généraliser l’aide : une solution unique ne devrait pas être jugée bonne pour tout le monde. Chacun a son propre niveau de difficulté et de persévérance. L’aide et la performance du bénéficiaire doivent être évaluées au fil du temps pour assurer un suivi efficace.

Les pauvres ne peuvent s’en sortir qu’en s’appliquant à construire une vie meilleure. Quand on est pauvre, on inspire la pitié (Voulez-vous dire que « on est pitoyable » et « on est pathétique » ont le même sens ?), mais encourt aussi des reproches (« Des » ici est l’article indéfini ou l’article partitif, s’il vous plaît ? Je dirais l’article indéfini). Être né dans la pauvreté n’est pas une choix et mérite de la compassion de la part des autres. Mais mourir dans la pauvreté devrait être blâmé. Il est fort probablement que durant ses cinquante années de vie, il ne s’est pas assez acharné pour améliorer la situation.




Réponse : La pauvreté de gerondif, postée le 12-01-2019 à 11:27:08 (S | E)
Bonjour
Récemment le président d’un pays superpuissant (terme courant un pays riche) a décidé de supprimer une aide sociale pour les pauvres, suscitant le mécontentement d’une grande partie de son peuple. La majorité de la population n’est pas riche donc la décision touche beaucoup de gens. D’ailleurs, ne pas aider les pauvres est considéré comme immoral. La décision s’attaque à une valeur taboue (j'ai vérifié, tabou était invariable et semble ne plus l'être, même si je le préfère invariable...) de l’humanité : l’entraide.

Un politicien manipulant(non ! calculateur, donc manipulateur!) va montrer sa considération envers les pauvres, suggérer des programmes visant à aider les pauvres… Il obtiendra alors une belle image d’un président proche de son peuple et toujours à l’écoute. C’est une approche traditionnelle mais aussi ancienne (non, je disais que l'idée suivante pourrait être mise en valeur par un mais par exemple). Les aides ne font que diminuer la douleur. La maladie reste toujours là. Elles ne guérissent pas les gens de la pauvreté. Ironiquement, les pauvres s’en sortent mieux que les travailleurs au SMIC, car les pauvres reçoivent davantage d’aides pour le logement, le transport, la santé, le gaz et l’électricité, les études… Du coup, il est pratique de rester sous statut de « pauvre » et de recevoir de l’aide. A mon avis, l’aide est toujours nécessaire et appréciée dans la société, mais elle doit être personnalisée. Il ne faut pas généraliser l’aide : une solution unique ne devrait pas être jugée bonne pour tout le monde. Chacun a son propre niveau de difficulté et de persévérance. L’aide et la performance (terme un peu technocratique, un peu froid, c'est ce qu'on reproche aux discours présidentiels en ce moment) (les efforts, la volonté de s'en sortir) du bénéficiaire doivent être évaluées au fil du temps pour assurer un suivi efficace.

Les pauvres ne peuvent s’en sortir qu’en s’appliquant à construire une vie meilleure. Quand on est pauvre, on inspire la pitié (Voulez-vous dire que « on est pitoyable » et « on est pathétique » ont le même sens ? Oui, un peu), mais encourt aussi des reproches. Être né dans la pauvreté n’est pas une choix et mérite de la compassion de la part des autres. Mais mourir dans la pauvreté devrait être blâmé. Il est fort probablement(adjectif !) que durant ses cinquante années de vie, il ne s’est pas assez acharné pour améliorer la sa situation.



Réponse : La pauvreté de lefuongthuy, postée le 15-01-2019 à 12:23:36 (S | E)
Bonjour.
Voici la correction. Merci beaucoup pour votre temps.

Récemment le président d’un pays riche a décidé de supprimer une aide sociale pour les pauvres, suscitant le mécontentement d’une grande partie de son peuple. La majorité de la population n’est pas riche donc la décision touche beaucoup de gens. D’ailleurs, ne pas aider les pauvres est considéré comme immoral. La décision s’attaque à une valeur taboue universelle de l’humanité : l’entraide.

Un politicien manipulateur va montrer sa considération envers les pauvres, suggérer des programmes visant à aider les pauvres… Il obtiendra alors une belle image d’un président proche de son peuple et toujours à l’écoute. C’est une approche traditionnelle mais aussi ancienne. Les aides ne font que diminuer la douleur. La maladie reste toujours là. Elles ne guérissent pas les gens de la pauvreté. Ironiquement, les pauvres s’en sortent mieux que les travailleurs au SMIC, car les pauvres reçoivent davantage d’aides pour le logement, le transport, la santé, le gaz et l’électricité, les études… Du coup, il est pratique de rester sous statut de « pauvre » et de recevoir de l’aide. A mon avis, l’aide est toujours nécessaire et appréciée dans la société, mais elle doit être personnalisée. Il ne faut pas généraliser l’aide : une solution unique ne devrait pas être jugée bonne pour tout le monde. Chacun a son propre niveau de difficulté et de persévérance. L’aide et la volonté de s’en sortir du bénéficiaire doivent être évaluées au fil du temps pour assurer un suivi efficace.

Les pauvres ne peuvent s’en sortir qu’en s’appliquant à construire une vie meilleure. Quand on est pauvre, on inspire la pitié, mais encourt aussi des reproches. Être né dans la pauvreté n’est pas une choix et mérite de la compassion de la part des autres. Mais mourir dans la pauvreté devrait être blâmé. Il est fort probable que durant ses cinquante années de vie, il ne s’est pas assez acharné pour améliorer sa situation.



Réponse : La pauvreté de gerondif, postée le 15-01-2019 à 13:21:36 (S | E)
Bonjour
Rajoutez un on devant encourt.
On ne sait pas qui votre il de il ne s'est pas assez acharné représente, il ne peut pas représenter on.



Réponse : La pauvreté de jij33, postée le 15-01-2019 à 14:31:54 (S | E)
Bonjour lefuongthuy et bonne deuxième année en France, si mes souvenirs sont exacts.
"Être né dans la pauvreté n’est pas une choix". Cette erreur à échappé (plusieurs fois !) à l'œil de lynx de gerondif : " choix" est masculin...
Vous auriez pu également supprimer quelques répétitions grâce à la pronominalisation :
"Un politicien manipulateur va montrer sa considération envers les pauvres, suggérer des programmes visant à (remplacer "les pauvres" par un pronom personnel) aider les pauvres… Il obtiendra alors une belle image d’un (j'aurais dit "de" : une belle image de président, ou la belle image d'un président. Mais je coupe probablement les cheveux en quatre !) président proche de son peuple et toujours à l’écoute. C’est une approche traditionnelle mais aussi ancienne. Les aides ne font que diminuer la douleur. La maladie reste toujours là. Elles ne guérissent pas les gens de la pauvreté. Ironiquement, les pauvres s’en sortent mieux que les travailleurs au SMIC, car les pauvres (pronom personnel sujet) reçoivent davantage d’aides pour le logement, le transport, la santé, le gaz et l’électricité, les études… Du coup, il est pratique de rester sous statut de « pauvre » et de recevoir de l’aide. A mon avis, l’aide est toujours nécessaire et appréciée dans la société, mais elle doit être personnalisée. Il ne faut pas (pronom



Réponse : La pauvreté de lefuongthuy, postée le 16-01-2019 à 16:23:58 (S | E)
Bonjour gerondif et jij33
Bonne année à vous deux. Oui c'est ma deuxième année en France et j'ai de la chance de toujours rencontrer les gens sympa qui m'aident dans la vie quotidienne et aussi dans le monde virtuel comme ici. Je vous suis très reconnaissante.

Voici la correction. Merci

Récemment le président d’un pays riche a décidé de supprimer une aide sociale pour les pauvres, suscitant le mécontentement d’une grande partie de son peuple. La majorité de la population n’est pas riche donc la décision touche beaucoup de gens. D’ailleurs, ne pas aider les pauvres est considéré comme immoral. La décision s’attaque à une valeur taboue universelle de l’humanité : l’entraide.

Un politicien manipulateur va montrer sa considération envers les pauvres, suggérer des programmes visant à les aider… Il obtiendra alors la belle image d’un président proche de son peuple et toujours à l’écoute. C’est une approche traditionnelle mais aussi ancienne. Les aides ne font que diminuer la douleur. La maladie reste toujours là. Elles ne guérissent pas les gens de la pauvreté. Ironiquement, les pauvres s’en sortent mieux que les travailleurs au SMIC, car ils reçoivent davantage d’aides pour le logement, le transport, la santé, le gaz et l’électricité, les études… Du coup, il est pratique de rester sous statut de « pauvre » et de recevoir de l’aide. A mon avis, l’aide est toujours nécessaire et appréciée dans la société, mais elle doit être personnalisée. Il ne faut pas généraliser l’aide : une solution unique ne devrait pas être jugée bonne pour tout le monde. Chacun a son propre niveau de difficulté et de persévérance. L’aide et la volonté de s’en sortir du bénéficiaire doivent être évaluées au fil du temps pour assurer un suivi efficace.

Les pauvres ne peuvent s’en sortir qu’en s’appliquant à construire une vie meilleure. Quand on est pauvre, on inspire la pitié, mais on encourt aussi des reproches. Être né dans la pauvreté n’est pas un choix et mérite de la compassion de la part des autres. Mais mourir dans la pauvreté devrait être blâmé. Il est fort probable que durant ses cinquante années de vie, cette personne ne s’est pas assez acharnée pour améliorer sa situation.



Réponse : La pauvreté de gerondif, postée le 16-01-2019 à 17:33:07 (S | E)
Bonsoir
Bonne deuxième année en effet.
Je ne vois rien à corriger.
Vous dites :
C’est une approche traditionnelle mais(d'ailleurs, pourquoi mais, la tradition est souvent ancienne, j'aurais mis "et")aussi ancienne. Les aides ne font que diminuer la douleur. La maladie reste toujours là. Elles ne guérissent pas les gens de la pauvreté.
Pour mieux mettre en valeur votre raisonnement, j'aurais dit:

C’est une approche à la fois traditionnelle et ancienne. Cependant, les aides ne font que diminuer la douleur sans pour autant faire disparaitre la maladie. Elles ne guérissent pas les gens de la pauvreté. Mais là, "elles" me semble éloigné de "aides", alors :

C’est une approche à la fois traditionnelle et ancienne. Cependant, les aides, qui ne font que diminuer la douleur sans pour autant faire disparaitre la maladie, ne guérissent pas les gens de la pauvreté.



Réponse : La pauvreté de lefuongthuy, postée le 16-01-2019 à 17:58:59 (S | E)
Bonjour,
Oui votre phrase est beaucoup meilleure. C'est la façon de m'exprimer sur lequel je dois encore travailler plus. Merci pour la suggestion.
J'ai voulu écrire " traditionnelle mais aussi démodée ( outdated, old-fashioned) ", mais à ce moment-là, le mot " démodé" n'est pas venu dans ma tête. J'ai donc mis " ancienne".

-------------------
Modifié par lefuongthuy le 16-01-2019 17:59





Réponse : La pauvreté de gerondif, postée le 16-01-2019 à 18:07:21 (S | E)
Oui, votre phrase est beaucoup bien meilleure. C'est la façon de m'exprimer sur lequel laquelle je dois encore travailler plus(n'est pas faux mais davantage est meilleur). Merci pour la suggestion.(C'est sur la façon de m’exprimer que je dois encore travailler davantage)
J'ai voulu écrire " traditionnelle mais aussi démodée ( outdated,(dépassée) old-fashioned (vieillotte, démodée,) ", mais à ce moment-là, le mot " démodé" n'est pas venu dans ma tête(ne m'est pas revenu en tête). J'ai donc mis " ancienne".



Réponse : La pauvreté de lefuongthuy, postée le 18-01-2019 à 09:30:30 (S | E)
Bonjour gerondif,
Merci pour la correction. J'en suis très reconnaissante.
Bonne journée.




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